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En prélude à une longue interview de Brigitte BARDOT par France ROCHE est diffusé un film amateur tourné à HENDAYE par Anne-Marie BARDOT, mère de Brigitte, "Tatty", lorsque cette dernière avait cinq ans, en compagnie d'un tout jeune garçon (scène de baisers). Au cours de cette interview en studio sont évoqués son enfance sous les caméras familiales, son sentiment à l'égard du cinéma "qui souvent l'éloigne de la vision première de son personnage", de la danse qu'elle adore et où elle a "ses propres responsabilités" et de la presse internationale (deux magazines américains consacrés à elle sont sur une table) et nationale, qui ne l'intéresse pas. Elle évoque son image sexy du film "Et Dieu créa la femme" "qui lui colle à la peau" et le mythe BARDOT. Elle est très contente de son statut de star mondiale. Elle souhaite interpréter des personnages qui ont évolué comme elle. L'interview se termine par l'arrivée sur le plateau de Michel IGON, son camarade figurant sur le film amateur en introduction de l'interview. Celui-ci évoque le père de Brigitte et quitte le plateau en embrassant Brigitte BARDOT sur les deux joues sur l'invitation de France ROCHE.

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Interviewé par Louis PAUWELS, Salvador DALI se présente comme un personnage "excentrique mais concentrique", anarchiste et monarchiste à la fois. Il répond aux accusations d'André Breton le traitant de traitre au surréalisme, aimant trop l'argent. Il aime l'argent plus que tout, après sa femme Gala. Il croit en l'amour délirant. Il montre en quoi on vit de "la charité de 1900". Il explique pourquoi il peint, fait des peintures assez médiocres, parle de sa passion pour l'élément mou comme le fromage, un élément mystique, citant des propos de Saint Augustin. Salvador DALI explique pourquoi il est catholique et monarchiste. Il pense que la Russie va vers la monarchie. D'après lui, si Aragon et Eluard sont devenus communistes, cela vient de la question des pissotières en or, reprenant une phrase de Lénine. Il montre, en quoi, Lenine était un surréaliste, cite les plus grands génies créateurs d'aujourd'hui Heisenberg, Picasso et lui. Il aurait aimé vivre du temps de Raphaël mais considère que son génie brille plus aujourd'hui dans ce monde de médiocrité. Il voit en la télévision un instrument de crétinisation. Il explique pourquoi il tient tant à attirer l'attention sur lui, pour tuer l"image de son frère mort. Il aurait aimé être Raymond Lulle (Ramon Llull). Interview illustrée parfois de tableaux de DALI.

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Mariage de Johnny HALLYDAY et de Sylvie VARTAN qui devient aujourd'hui madame SMET - foule de jeunes se bousculant : Sylvie VARTAN en robe de mariée, entourée de nombreux photographes à son arrivée à la mairie ; voitures immobilisées par la foule et Johnny HALLYDAY réussissant à grand peine à sortir de la cohue, aidé par quelques agents de police qui essaient de contenir la foule - Johnny HALLYDAY (de son vrai nom : SMET) arrivant devant le maire de Loconville qui l'accueille à la porte de la mairie : Photographes de presse installés sur le rebord d'une fenêtre et sur un toit ; le maire entouré d'une foule de photographes se bousculant - les mariés sont invisibles - Clocher de l'église de Loconville - Sortie de l'église des mariés, Johnny HALLYDAY et Sylvie VARTAN, accueillis par une foule de jeunes et de photographes contenus par des agents de police. Photographes déplaçant les tuiles d'un toit pour prendre des photos. Mariés bousculés par la foule - Gros plan de M. et Mme SMET (alias Johnny HALLYDAY et Sylvie VARTAN) - Plusieurs plans du départ de la voiture des mariés entourés de la foule des jeunes "fan".